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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 21:44

Brignogan.jpgInvitation de l'équipe pédagogique des classes préparatoires du lycée Clémenceau à Nantes.

 

Au programme une conférence : "Evariste Galois (1811-1832), deux cents ans plus tard" et plusieurs ateliers dont un atelier sur les fractions continues à destination d'une centaine d'élèves de maths sup.

 

À Brignogan Plages, peut-être. Bien à vous. N.V.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 10:03

ACH002877001 003

L'Humanité des débats Histoire

Évariste Galois (1811-1832) ou le Rimbaud des mathématiques
Mots clés : histoire,

 

 

Fougueux révolutionnaire, mathématicien de génie, Évariste Galois a vingt ans lorsque, le 31 mai 1832, il est tué dans un duel. La veille de ce jour fatal, écrivant à un ami, il se disait « victime d’une infâme coquette et de deux dupes de cette coquette », et il lui laissait son testament mathématique.

Dans la Gazette des tribunaux du 7 juin 1832, le procès-verbal de l’autopsie de Galois, décédé le 31 mai 1832 à l’hôpital Cochin (à Paris), décrit : « Le jeune Évariste Galois, âgé de vingt et un ans, bon mathématicien, connu surtout par son imagination ardente, vient de succomber en douze heures à une péritonite suraiguë, déterminée par une balle tirée à 25 pas. » La fin, « Six onces de sang étaient épanchées dans le petit bassin, des adhérences unissaient déjà les intestins au péritoine qui était pointillé de rouge », rappellent les derniers vers du Dormeur du val. Galois est aux mathématiques ce que Rimbaud est à la poésie. La veille du duel, Galois – persuadé de sa fin proche – écrit à ses amis républicains qu’il meurt « victime d´une infâme coquette, et de deux dupes de cette coquette ». Il adresse également à son ami Auguste Chevalier une sorte de testament mathématique, qui lui assurera une gloire posthume. « Après cela, il y aura, j’espère, des gens qui trouveront leur profit à déchiffrer tout ce gâchis », écrit-il.

Né à Bourg-la-Reine en 1811, il connaît une enfance paisible entre une mère cultivée qui l’éduque et un père qui dirige une institution scolaire, avant de devenir maire de la commune. À douze ans, il entre au lycée Louis-le-Grand. À quinze ans, il y découvre les mathématiques, s’en passionne et obtient un premier prix au concours général. Sans suffisamment tenir compte des conseils de son professeur de mathématiques, il se présente, avec un an d’avance, au concours d’entrée à Polytechnique. Échec. Affecté, car il veut intégrer la plus grande école de l’époque, il retourne étudier en mathématiques spéciales à Louis-le-Grand. Son professeur de mathématiques, Louis 
Richard, reconnaît immédiatement ses qualités exceptionnelles : « Cet élève a une supériorité marquée sur tous ses condisciples. » Galois délaisse les travaux scolaires pour se focaliser sur ses recherches personnelles en poursuivant ses lectures de grands auteurs et en rédigeant ses premiers textes.

En 1829, il soumet ses travaux à l’Académie des sciences. Mais un drame le secoue : le suicide de son père. À la suite des élections de 1827, une vive tension existe entre les libéraux et le clergé. Galois père est poursuivi par de violentes attaques personnelles de la part du prêtre de Bourg-la-Reine. Quelques semaines plus tard, Galois passe une seconde fois le concours d’entrée à Polytechnique. Échec, bis. Il entre à l’École normale, appelée alors « préparatoire ». Elle n’avait pas la réputation d’aujourd’hui. En juillet 1830, la France est secouée par la révolution. Les élèves de Polytechnique y prennent part. Pas ceux de l’École normale. Charles X quitte la France. En octobre 1830, Galois devient un républicain actif, adhère à la Société des amis du peuple et critique épistolairement le directeur de l’École. Éviction. Sitôt exclu, il ouvre un cours public de mathématiques. Sans grand succès.

Sa vie se poursuit dans le tumulte et l’agitation. Lors d’un banquet, dans un restaurant de Belleville, en l’honneur de républicains acquittés, il lève un toast, un poignard à la main, à la santé du roi. Alexandre Dumas en rend compte dans ses Mémoires. Arrestation. Procès. Acquittement. Le 14 juillet, Galois et un de ses amis sont arrêtés en tête d’une manifestation sur le pont Neuf. Incarcération à Sainte-Pélagie. Gérard de Nerval, pris dans une rafle début février 1832, détaille sa brève rencontre avec Galois. Malgré la promiscuité de la prison, Galois poursuit ses recherches. Le 16 mars 1832, pour des raisons de santé (épidémie de choléra), il est transféré dans une maison de santé au niveau de l’actuelle rue Broca, dans le 13e arrondissement de Paris. Il y rencontre une jeune femme. Liaison éphémère. Il est provoqué en duel par un prétendu fiancé. On connaît la suite. Près d’un étang à deux pas de la clinique.

maître de conférences 
en mathématiques appliquées 
et en histoire des sciences 
et des techniques (IUT Cachan & GHDSO : université Paris Sud-11).

 

Une biographie romancée, une biographie mathématique et un essai sociologique : 
Icare trahi, de Jean-Paul Auffray, Éd. Viviane Hamy, 2011 ; Évariste Galois. La fabrication d’une icône mathématique, de Caroline Ehrhardt, préface d’Éric Brian, les Éditions de l’EHESS, 2011 ; Galois, le mathématicien maudit, de Norbert Verdier, Éd. Belin, 2011.

Norbert Verdier,

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 23:45

berlinDu 14 au 16 janvier, visite de Berlin avec 25 étudiants de l'IUT de Cachan dans le cadre des "Journées internationales".

 

Activités obligatoire:

- dimanche 15 janvier au matin: footing ou balade dans Tiergarten.

- dimanche 15 janvier au soir: visite du Reichstag.

- lundi 16 janvier matin: visite d'un des laboratoires de Deutsche Telekom avec Gilles Bailly.

 

Autres activités suggérées (cf. emails d'information).

 

 

 

 

KB

Ce 13 janvier 2012.

N.V.

 

 

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 15:11

Caen 2010Vient de paraître:

 

Norbert, Verdier, « Le Journal de Liouville et la presse de son temps : hériter, transmettre et faire circuler des mathématiques au XIXe siècle (1824-1885) », actes du XVIIIe colloque Inter-Irem de Caen, histoire et épistémologie des mathématiques : Circulation, transmission, héritage (mai 2010), université de Caen Basse-Normandie, juin 2011, 255-278.  Pour avoir un aperçu de l'ouvrage: http://www.math.unicaen.fr/irem/spip.php?article121

 

Bonne lecture & bien à vous. N.V.

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 08:04

ACH002877001 003Ce jeudi 15 décembre à Marseille (à la FRUMAM) conférence à 14 h 00 autour de Evariste Galois: "" "Evariste Galois (1811-1832), deux cents ans plus tard".  À demain, peut-être?

 

Pour plus d'informations, cf. http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?17,716366.

 

Voici les sources utilisées pour cet exposé:

« Timbrographie », « médaillographie » et … bibliographie galoisiennes

« Timbrographie » : Un timbre : conçu pour le Bicentenaire. Renseignements : Pascal Roger, président du Cercle philatélique et cartophile de Bourg-La-Reine/Sceaux : pascal.roger@u-psud.fr

« Médaillographie »

Bibliographie :

Publications récentes sur Galois 

Deux numéros spéciaux de revues :

-                      Une revue de vulgarisation des mathématiques : Tangente, Evariste Galois – un génie romantique, Tangente sup, n°60, 2011.

-                      Revue d’histoire des mathématiques, Evariste Galois, 17, fascicule 2 (2011).

… et quatre ouvrages :

Auffray, Jean-Paul, Icare trahi, Ed. Viviane Hamy, 2011.

Ehrhardt Caroline, Évariste Galois. La fabrication d’une icône mathématique, préface d’Éric Brian, Les Éditions de l’EHESS, 2011.

Neumann, Peter, Galois Évariste, The mathematical writings of Evariste Galois, trad. Peter Neumann, European mathematical society, 2011.

Verdier, Norbert, Galois, le mathématicien maudit, Éd. Belin, 2011.

 

Autres sources citées dans l’exposé :

Bru Bernard & Martin, Thierry (sous la direction de), Antoine-Augustin Cournot, Écrits de jeunesse et pièces diverses, tome XI des Oeuvres complètes d' A.-A. Cournot, Paris : Vrin, 2 vol., 2010.

Caron, Jean-Claude, « Révoltes collégiennes, élites juvéniles et société post-révolutionnaire », Histoire de l’éducation, 2008, n°118, 83-108.

Dupont-Ferrier, Gustave, Du Collège de Clermont au Lycée Louis-le-Grand (1563-1920), E. de Boccard, 1921-1925.

Ehrhardt, Caroline, Évariste Galois, un candidat à l’école préparatoire en 1829, 14 (2), 2008, 289-328.

Ehrhardt, Caroline, «La naissance posthume d’ Évariste Galois (1811-1832) », Revue de Synthèse, Vol. 131, No. 4. (1 November 2010), 543-568.

Galuzzi, Massimo, « Galois’ Note on the Approximative Solution of Numerical Equations (1830) »,  Archive for History of Exact Sciences, 56(1): 29-37, 2001.

Gérini, Christian

2002. Les «Annales» de Gergonne : apport scientifique et épistémologique dans l’histoire des mathématiques, Éd. du Septentrion, Villeneuve d’Ascq, 2002.

Guillet, François, La mort en face. Histoire du duel de la Révolution à nos jours, Aubier, collection Historique, 2008.

Mayeur, Françoise, Histoire générale de l’enseignement et de l’éducation, t. 3, De la Révolution à l’École républicaine, 1789-1830, Paris, Perrin, 2004.

 

Neuenschwander, Erwin, «The Unpublished Papers of Joseph Liouville in Bordeaux » , Historia Mathematica, 16 (1989), 334-342.

Robert, Vincent, Le temps des banquets. Politique et symbolique d’une génération (1818-1848), Paris, Publications de la Sorbonne, 2010.

Taton, René

1947. « Les mathématiques dans le Bulletin de Férussac », Archives internationales d’histoire des sciences, 26 (1947), 100-125.

Verdier, Norbert ; Gérini, Christian & Moatti, Alexandre, Le premier article de Galois, élève au collège Louis-Le-Grand, à paraître sur Bibnum : http://www.bibnum.education.fr/, 2011.

 

N.V.

KB, ce douze décembre 2011

 



 

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 13:04

Hier mon neveau s'interroge :

 

"Comment simplifier en moins de deux minutes l'expression

 

15/4 . (1-1/2^2) (1-1-1/3^2) (1-1/4^2) ... (1-1/15^2)?"

 

où le symbole ^ désigne l'élévation au carré : 2^2 = 2.2 = 4, 3^2 = 3.3 = 9, 4 ^2 = 4.4 = 16, ...

 

Qu'auriez-vous répondu? Comment l'auriez-vous aidé ? ...

 

Je vous souhaite une bonne journée avec ou sans fractions. N.V.

 

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 11:09

2011-11-01_12.10.05.jpegDeux oasis A et B sont distantes de 1000 km.

 

En A, on dispose de 3000 bananes que l'on cherche à transporter au point B à dos d’éléphant.


L’éléphant a deux particularités :

- il ne peut pas porter plus de 1000 bananes à la fois ;


- pour faire 1 km, il doit manger 1 banane.

 

Combien de bananes au maximum pourra-t-on transporter en B ? (il y a un seul éléphant, bien sûr)

 

 

Où a été prise la photographie de l’éléphant ?

Bonne journée. N.V., ce lundi 07 novembre 2011.

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 11:16

Agoraine_medium.jpg"Galoisiennes, galoisiens, bonjour;

 

Ce samedi 5 novembre à Bourg-La-Reine à l'Agoreine; Norbert Verdier (auteur de Galois, le mathématicien maudit, Ed. Belin, 2011) animera une journée de colloque autour de la figure d'Evariste Galois. Entre deux conférences, des textes seront lus par Mireille Grizzo.

 

Les conférencières et conférenciers sont: Marianne Cayatte, Annick Valibouze, Bruno Alberro, Jean-Paul Auffray, Christian Gérini & François Sauvageot. 

Pour plus d'informations : cf. http://www.bourg-la-reine.fr/Acces-directs/Agenda/Parlons-d-Evariste-Galois

Dans ce colloque, on y parlera arts et littératures, mathématiques, informatique, magie et histoire des mathématiques. En introduction, une "timbrographie", "médaillographie" et  bibliographie des principales productions galoisiennes sera présentée.
  
N'hésitez pas à faire circuler cette informations "dans vos cercles de sociabilité".
   
Bien à vous. Norbert Verdier."

 

Au plaisir de se rencontrer à Bourg-La-Reine, peut-être.

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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 08:57
campus"J'ai le plaisir de vous inviter à la soutenance de ma thèse intitulée « Charles-Ange Laisant. Itinéraires et engagements d'un mathématicien, d'un siècle à l'autre (1841-1920). »
et dirigée par Mme BARBIN Evelyne.
Le jury est composé de
Mme BARBIN Evelyne - Professeur - Université de Nantes
Mme FURINGHETTI Fulvia - Professeur - Université de Gênes (Italie)
M. NABONNAND Philippe - Maître de conférences - Université de Nancy 2
Mme GOLDSTEIN Catherine - Directeur de recherche - Institut de mathématiques de Jussieu
Mme SCHWER Sylviane - Professeur - Université de Paris 13
M. VERDIER Norbert - Maître de conférences - Université de Paris 11.
La soutenance aura lieu le lundi 31 octobre à 14h dans l'Amphi Pasteur (Bâtiment 2) de l'UFR sciences et techniques de Nantes (plan ci-dessous). Le Campus sciences de l'Université de Nantes est en face de l'arrêt Michelet-Fac des sciences du tramway (ligne 2).
Vous êtes cordialement invité au pot qui suivra la soutenance.
Bien cordialement,
J. Auvinet.
Résumé : Charles-Ange Laisant (1841-1920) est une figure, restée longtemps méconnue, des mathématiques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. La vie de ce polytechnicien d’origine nantaise présente de multiples et riches facettes. Ses carrières de militaire et d’homme politique s’entremêlent avec son parcours de mathématicien. À la suite de Jules Hoüel, il se montre un diffuseur actif de la méthode des équipollences de Giusto Bellavitis et de la théorie des quaternions en multipliant les applications de ces notions. Ami d’Édouard Lucas, Laisant produit
également des résultats originaux sur la représentation de notions issues des mathématiques discrètes. Homme de
réseaux, il est membre de multiples sociétés savantes en France (SMF, AFAS, Société Philomathique de Paris).
Persuadé que le progrès mathématique impose une plus grande communication entre ses acteurs, il fonde
L’intermédiaire des mathématiciens avec son ami Émile Lemoine et L’enseignement mathématique avec le
Suisse Henri Fehr. Après avoir été enseignant, son intérêt pour les questions d’éducation apparaissent ensuite
plus présentes à la fin de sa carrière où s’installe également une réflexion plus large sur sa discipline. Notre
travail s’efforce de discerner les différents itinéraires empruntés, de souligner les engagements inhérents à
chacun d’entre eux afin de situer les travaux de Laisant dans la période considérée (1860-1914) et d’étudier la
place particulière du personnage dans la communauté mathématique de son époque."
À Nantes peut-être. Bien à vous. N.V.
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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 08:17

Biblio-Ulm.jpgIntervention lors de l'allocution de clotûre du colloque Galois à l'IHP ce jeudi 27 octobre 2011 à la bibliothèque de l'école normale supérieure (rue d'Ulm):

 

« Mesdames, messieurs ;

On parle souvent des échecs de Galois ; à Polytechnique, l’exclusion de l’école normale (l’école préparatoire), à l’Académie des sciences et, surtout, de son plus grand échec, lors du duel. Permettez moi d'insister quelques instants sur une réussite importante dans son cursus mais aussi pour l’histoire de l’institution qui nous accueille en la personne de sa directrice Mme Canto-Sperber. Je veux parler du concours d’entrée en 1829.

De ce concours, nous connaissons la copie de mathématiques de Galois. Elle a été très finement analysée par Caroline Ehrhardt dans un article récent de la Revue d’histoire des mathématiques. Désormais, il y a prescription et je peux annoncer que j’étais l’un des deux referee anonymes de cet article remarquable car à partir d’une copie singulière, celle de l’élève Galois, tu explores Caroline la complexité d’un homme (jeune) et les complexités d’un temps fort  qui paraît fort lointain aux mathématiciens d’aujourd’hui.

Nous possédons d’autres copies de Galois dont celle de philosophie sur la notion d’induction en générale et en mathématiques en particulier. Si vous voulez publier un inédit de Galois, rien n’est plus simple. Précipitez-vous, mais je cours vite, aux Archives nationales, ouvrez délicatement les cartons d’archives F17/4176 & 4177. Analysez, publiez et remerciez-moi dans une note de bas de page !  

Ces copies disais-je ont permis à Galois d’entrer à l’école normale qui n’avait pas alors le prestige d’aujourd’hui et qui n’était d’ailleurs pas située ici mais dans un local vétuste attenant au lycée Louis Le Grand comme nous l’a rappelé hier Bruno Belhoste dans sa conférence. L’école doit plus à Galois que réciproquement. En ouverture de ce colloque, lundi, Yves André faisait référence au livre écrit lors du centenaire de l’école en 1895. Le centenaire a été l’occasion pour l’école de se revendiquer de Galois: il y a le livre, il y a aussi les archives de la ville de Bourg La Reine où l’on trouve les nombreuses lettres d’invitation liées à ces festivités du centenaire. Le centenaire a été un véritable acte de "médiatisation" et de "cristallisation" autour de la figure de Galois. Et pour poursuivre ce Bicentenaire, je vous donne rendez-vous à Bourg La Reine, là où tout a commencé, le 5 novembre pour rendre hommage à l’ancien élève de l’école préparatoire : le réginaburgien Evariste Galois.

Et si vous ne pouvez pas venir à Bourg La Reine, je propose l’organisation d’un autre Bicentenaire, le 11 mai 2012, celui de Stéphanie Félicie Poterin du Motel. Soyons moins infamant avec « l’infâme coquette » car elle a permis à deux communautés qui se croisent rarement de se côtoyer sans le moindre duel : la petite communauté des historiens des maths et la grande, très grande, communauté des mathématiciens. Je vous remercie. » N.V. ("Le mathématicien maudit", Belin, 2011).  

 

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